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Hello, par exemple : Il y a un vpn sur opera, usage hyper simple et gratuit. Que vaut t'il face aux autres ?
Il n'a pas une réputation exceptionnelle : on ne sait pas par exemple où sont stockées et où vont les données. C'est quasiment pire que de ne pas s'en servir : https://www.iphon.fr/vpn/opera-vpn
Un VPN participe à l'anonymisation sur le net, la confidentialité. La sécurité ? Pas sûr du tout. Il faut que les données qui transitent et peuvent être hébergées le soit par des serveurs sûrs donc passer par : Proton VPN (pays bas pour le serveur gratuit généralement) Nord VPN payant, CyberGhost payant).
Personnellement : je m'en sers sur Windows avec le service de BitDefender, et parfois Proton sous Linux. Mais aussi de TOR qui est une très bonne solution (malheureusement captable en partie par la NSA... Parait-il je n'ai pas creusé, du moins savent-ils qui s'en sert... Après en ont-ils besoin, sans doute pas).
Il faut se renseigner sur les VPN : les connexions sont elles cryptées ? Transitent-elles seulement par un serveur sous une autre adress IP ou vos connexions sont elles enregistrées ?
Actuellement, en France : s'il s'agit de consulter les actualités, de surfer sur des sites culturels, de jeux, de conso etc. Il n'est pas indispensable mais utile sans aucun doute. En fait il faut raisonner en "défense en profondeur" en cybersécurité ou confidentialité et la dose de VPN dépend de votre approche globale. C'est sûr que si vous voulez envoyer des messages de soutien aux ukrainiens, sans parano aucune autant passer par un VPN on ne sait jamais dans deux ou trois ans (c'est très hypothétique, une culture de la confidentalité à avoir).
Dit autrement, quand le client VPN ne dit rien, on ne sait pas où vont les données, si elles ne font que passer, qui fournit l'adresse IP... D'où NordVPN et d'autres solutions tracées (listes des entreprises sur le net).
Peut-être que la rationnalisation serait plus poussée ou nécessaire si la question était "vous n'allez utiliser qu'une seule distribution ou OS les 10 prochaines années". (Hors travail par exemple). Si la question devenait cela les choix seraient sans doute différents que les personnes qui ont plusieurs ordis avec des OS différents, ou plusieurs OS sur des partitions d'un même ordinateur.
De même, il a sans doute une vingtaine de distros Linux qui sont stables / performantes, au moins d'ailleurs. Pour reprendre les critères de @Yoman cela se joue à peu de choses. Et parfois la wiki / doc est utilisable dans plusieurs ordis : pour se servir de LMDE on peut utiliser le wiki de Debian...
Si je ne devais garder qu'une seule distro alors là je casserai plus la tête (Leap ? Alma ? Ubuntu ? Debian ?). Avec le cloud, les DDE; la possibilité de réinstall, le "compromis acceptable" peut plus se faire au juger. Quand au fait se fosaliser sur un seul OS pour se perfectionner, beaucoup de connaissances / réflexes sont en fait transférables...
Habitude, résistance au changement d'un côté, charge affective d'un côté, et de l'autre curiosité ou envie de changement, selon les personnalités, correspondent effectivement à la plupart des comportements humains, dans les choix techniques ou autres. Exemple : des retraités qui prennent des voitures hyper puissantes pour faire 2 km, des personnes qui ont des relations qu'elles savent pourtant nocives (couples, amitiés ou autres) Il n'y a souvent qu'une rationalité limité à quelques sujets, pour le reste c'est le hasard, les impulsions du moment.
Concernant les choix techniques : l'insatisfaction permanente / recherge de la "perfection" (distro hopping ou achat d'Iphone), les habitudes ancrées (je ne connais que windows), la méconnaissance (acheter un ordinateur à 1000 euros pour aller sur Internet)... et la publicité (Apple, ChromeOS) expliquent une large partie du comportement.
Y compris le mien, il n'y a rien de méprisant dans mes propos. Par exemple là j'écris d'une session Ubuntu 24.10 (!!!) ce qui n'est pas un choix hyper rationnel (ou LTS, ou autre distro) mais la curiosité, l'affectif (20 ans d'Ubuntu) l'a emporté. (J'ai d'autres sessions, d'autres ordis accumulés au fil du temps et des récups). Ceci dit 24.04 et + sont très bien. Cela dit, la raison n'est pas loin (besoin de certains logiciels RPG tabletop installables sur Ubuntu). Si je fais ça, c'est aussi que toutes mes données sont régulièrement sauvegardées.
Après @Yoman rien n'empêche de faire le test pour connaître le choix rationnel mais quand je vois les achats de voiture autour de moi (ex : quartier) je vois déjà qu'il n'y a souvent aucun rapport entre les besoins et les achats (quitte à ce que les personnes prennent des crédits). Idem pour l'informatique et le choix des OS, croisé à une certaine ignorance comme le dit @oh!rocks
(...) Pour uniquement lire c'est mails, naviguer sur le net, lire des vidéos et fichiers bureautique sur un PC entrée de gamme, Linux n'a aucun soucis. (...)
Tu as fait une bonne synthèse @Yoman par contre il est possible de travailler sur Linux "au-delà de la base" mais au prix de recherches, de réflexions. Au niveau du graphisme, j'ai eu un rendu équivalent en travaillant sous Linux. Je ne suis pas graphiste mais ces dernières années j'ai dû créer des documents de présentations et sous Linux il y a des outils pour créer au-delà du tryptique Inkscape / Scribus / Gimp. Par exemple la suite Softmaker, payante certe. Pourtant j'aurais pu demander la licence Adobe, on me l'aurait fournie, mais c'est ainsi je préfère utiliser des outils libres, plus léger. Adobe, en dessous d'un processeur très moderne et 32 GO de Ram, c'est désormais de l'utopie (quand on manipule plein d'éléments, sinon 16GO suffisent pour un travail plus simple). Même avec tout ça, la conso des ressources est effroyable...
Bref, une position perso, après personne ne m'a dit c'est de la daube loin de là et en fait mon entreprise a accepté le fait, même la DSI. Donc travailler uniquement sous Fedora, je l'ai fait pendant 3-4 ans. Maintenant retour à Windows obligé cette fois (genre appels d'offres et normes) au travail. Mais Linux desktop n'est pas que pour les programmeurs ou à contrario une utilisation privée assez courante...
Pour le reste je me reconnais dans ta synthèse, je voulais juste rajouter cet élément (que je n'avais pas écrit). Je trouve Linux Mint plus simple pour les débutants que Windows 11 (pour avoir testé) notamment dans les paramètres. Fait qui peut être contourner en utilisant la barre de recherche W11 pour les paramètres.
Enfin, ce qui peut bouleverser la donne, ce sont les nouveaux exigences matérielles. D'abord de W11 (sortie de 24H2 à la fin de l'année) puis de W12. Il va être utopique, si les plans de Microsoft restent les mêmes, d'utiliser W11 et 12 dans quelques mois, en dessous d'un processeur récent (AMD prend de l'avance) et de 16 GO de RAM... Sauf à désactiver Copilot mais dans ce cas-là Linux Mint comme OS d'entrée propose finalement plus de choses.
Pour les économies financières, d'ailleurs, on n'en a pas parlé : mais pour un particulier Linux propose plus à moindre coût. Bien entendu, ce n'est pas une offre commerciale mais la communauté du libre, le résultat n'en est pas moins là.
Un prochain débat pourrait être "qu'installer pour des débutants linuxiens ?" Non ? Ou que leur proposer...
Je me mets donc d'un point de vue de l'utilisateur Lambda.
1/ Compatibilité matérielle : les problèmes peuvent exister mais les principales distros ont de nombreux pilotes. Pas de souci imprimante, pas plus que Window. 2/ Alternatives logicielles : plus facile qu'avant pour la bonne et simple raison qu'une large part des logiciels pros ont désormais leur version en ligne. Pour la bureautique, onlyoffice est simple à saisir pour une personne qui connait déjà Microsoft365 3/ Fragmentation des distributions : le débutant doit s'y retrouver, rien d'évident en 2024. Pour débuter, je trouve que Linux Mint et Manjaro sortent du lot. 4/ Changement radical : Cela dépend de la volonté de s'y mettre. Bureau Cinnamon : barre des tâches, menu... Certaines distros sont 100% interface graphique. 5/ Manque de PC pre-installé Linux : Oui, bien entendu, c'est un problème. Peu d'utilisateurs Lambda installent d'eux mêmes Linux. 6/ Problèmes de pilotes : Pas pour ma part. 7/Complexité de la gestion des paquets : Plus que windows en tout cas. Là encore Linux Mint et Manjaro (pamac) simplifient la tâche. 8/ Bugs et instabilités : plus rare que Windows, souvent le fait de l'utilisateur. 9/ Interface utilisateur différente : Un changement, il faut s'y mettre 10/ Recherche d'aide spécifique : Il y a toujours les forums des distros mères à condition parfois de lire ou de traduire en anglais. (maintenant automatique avec la majorité des navigateurs)
CCL : c'est surtout le changement Windows >>> Linux qui est difficile. Un utilisateur qui apprendrait l'informtique avec Linux Mint ? Sans doute plus simple que Windows 11 (ex : organisation des paramètres.
Pour apprendre et s'autoformer il faut le vouloir.
Concernant les jeunes et les adultes, en gros : le peloton s'allonge : une partie des jeunes et salariés (35 puis 50%) maîtrisent de plus en plus l'outil PC (forcément) et le reste recul tout simplement. C'est à dire, spécifiquement sur le PC, il n'y a pas de progression, voir une régression (mesurée par le CREDOC).
Confusion entre être agile sur un smartphone (appli) et agile sur un PC (maîtriser des logiciels plus complexes, l'OS, les paramètres).
Linux progresse donc sur la part des jeunes notamment qui maîtrisent de + en + l'informatique, et pour les autres deux tiers, il faudrait déjà (dans une logique scolaire ou professionnelle) approcher / maîtriser windows.
Cf ce qui se produit quand on envoie un document pdf par exemple...
Cela fait partie des freins pour appréhender Linux à mon avis...
Savez vous si cela évolue un peu ou vers quelle piste ?
Rien de nouveau à en croire https://lists.opensuse.org/ Il y a eu des échanges au sein du "project" sur le devenir mais quand je les ai lus en tout cas il n'y avait aucun consensus, ni vote prévu, ni délais. Ils continuent sans doute sur un autre canal #irc
Bien sûr il y a des bénévoles. Il se trouve que j'ai participé à de nombreux projets associatifs et actuellement je suis salarié aussi dans une assoce, avec des bénévoles membres du CA. Donc oui, une association peut être confrontée à maints problèmes - égos, gouvernance, réelle divergence de vue. Ce qui me semble juste exceptionnelle c'est l'enchaînement des crises, leur durée, ou des changements de cap pour openSUSE. J'ai essayé de voir pour participer d'une manière ou d'une autre mais les ML communautaires et dév sont aussi des lieux de déchirements ou en tout cas de divergence (encore revu récemment). En terme de dynamique de groupe, c'est intéressant à étudier. Concernant la perspective d'un OS : Il y a des débats et des conflits dans Debian et Fedora, mais aussi des votes pour en sortir quand il le faut.
Pffff... Je l'ai lu. Ils rencontrent tout de même de très graves problèmes de communication et de capacités de prises de décision. Ce qui m'étonne surtout c'est la durée et les enchaînements des crises, qui sont à niveau tout de même très rare. Cela fait 30 ans que je participe à la vie associative (commencé très jeune) et je suis salarié dans une grande assoce, qui a aussi des bénévoles. Honnêtement, quand le consensus ne peut pas marcher, il faut voter. Ce que fait la communauté Debian, Fedora quant à elle arrive relativement à s'en tirer par le consensus (mais elle est plus petite). Je suis arrivé sur le tard sur openSUSE et pour ma part l'absence de vision et de perspective est criante. Bien entendu une conclusion pourrait être "c'est Linux, on ne doit pas se positionner comme consommateur mais acteur". Seulement on peut se demander si la crise n'est pas tellement profonde que cela ne sert à rien... Vision partielle de ma part...
@oh!rocks Idem, occasion ou reconditonné d'ailleurs. Dans mon foyer : un ordi fonctionnel sous openSUSE Leap, un sur Debian, un sur Windows 11 (et deux autres plus anciens, dont un sous Arium). La VM est également là en cas de besoin.
L'ennui d'avoir des partitions est aussi les mises à jours, fréquentes et longues, surtout pour celles et ceux qui ont des rollings.
Concernant les échanges autour de LibreOffice, il y a du débat. Je pense que les avis sont radicalement divergents, car les usages et les besoins de chacun le sont. Je ne comprends pas (du tout) l'accusation de lourdeur de LibreOffice qui se décline (entre autres) en deux thèmes : lourdeur en thème de CPU et RAM, lourdeur dans le détail des menus : 1/ Lourdeur du CPU / RAM : vous utilisez encore des ordis avec 1 ou 2 GO de RAM ? 2/ Lourdeur du menu : on pourrait parler de richesse non ? En option le panneau de config peut être installé (sur la droite) et cela va beaucoup plus vite.
Un outil par tâche ? Pour faire une maquette simple, avec des titres précis, des placements d'image facile, LO Writer très bien il me semble. Pour une maquette détaillée et riche, bien entendu, il faut utiliser Scribus, Publisher, QuarkXPress s'il y a encore des utilisateurs etc. (Ou suite Adobe mais adieu la légèreté).
Après, à moins de travailler dans une TPE ou une petite assoce, il ne faut pas utiliser Calc au travail, plutôt Excel (envoi à des partenaires) c'est sûr... ^^
Salut Manchette. Tout comme toi j'écoute beaucoup de musique et donc le media player est important pour les collections Flac ou MP3. Je l'ai téléchargé et testé sur openSUSE il y a deux mois mais, me concernant, je le trouve moins ergonomique qu'il y a 12-15 ans, quand je l'utilisais avec Kubuntu à l'époque. La gestion de la bibliothèque / dossier Musique n'est pas ergonomique à mon goût. Par contre il me semble bien pour gérer des listes de lecture. Seulement, me concernant, j'aime bien écouter des albums en entier donc je suis revenu sur VLC.
Tu peux l'installer avec Zypper install sans ajout de dépôt ! Les extensions sont visibles par Discover...
Par déduction je pense que tu parles du RPM car la version 3.6.1 est sortie le 21 juillet pour Windows et le lendemain pour Flatpak. L'utilisant (parfois) sur WIndows au travail c'est vrai que je ne n'ai pas trop suivi sur les distros RPM. La dernière version du flatpak reste en français...
La version Flatpack ne fonctionne pas mieux, elle ne reconnaît pas ma carte son, si j'enregistre, je n'ai qu'un bruit de fond atroce.
Bon à savoir. Comme je ne m'en sers qu'au travail, sous Windows, je ne peux pas te dire. As-tu réglé la sensibilité du micro ? Sinon c'est sans doute une question de compatibilité effectivement. A voir s'il y a d'autres utilisateurs...
Les retours sont très intéressants, 3 remarques par rapport à ce que je lis :
- Je suis content de lire les retours avec LaTeX, qui reste pertinent pour poser des exercices de maths par exemple (dès qu'il y a des fractions, équation, racines...) Entre autres utilités. Il faut s'y retrouver dans les extensions, éditeurs, c'est vrai qu'il est chronophage. - LibreOffice est lourd (Java...) : oui mais il est plus léger que les autres suites complètes. Sur Linux, je citerai OnlyOffice (en flatpak donc) même si OnlyOffice s'approche du 1:1 en terme de compatibilité Microsoft 365. (il ne faut jamais "s'amuser" à traiter un tableau Excel complexe avec par contre, la version en ligne d'Excel est faite pour) - D'ailleurs, ce sont souvent les arguments critiques contre les flatpaks, ça et la place qu'ils prennent. Tout reste relatif avec la puissance moyenne des ordis d'aujourd'hui et avec le reconditionné au prix abordable en état neuf (ex : Tradediscount).