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Sous LO, j’avais coché “Vérifier l’orthographe au cours de la frappe”. Je pensais que la chose était entendue et qu’à l’installation de l’extension LT, cela allait se poursuivre automatiquement, eh bien non. Il faut charger LO, puis décocher la case “Vérifier …”, quitter LO, recharger LO, cocher la case “Vérifier …”, quitter LO, recharger LO et, oh miracle, tout fonctionne.
Un peu complexe comme procédure, alors qu’il suffirait d’un simple switch logiciel pour dire “on veut vérifier”, que cela se fasse avec le correcteur standard de LO ou avec l’extension LT.
Je n'arrive pas à faire fonctionner l'extension "Language tool" sous LibreOffice (LT).
Je suis sous Linux (distribution SuSE Leap 15.5). LibreOffice 7.6.2.1 (x86_64).
Je pense avoir tout paramétré correctement :
1) Outils→Options→Paramètre linguistique→Linguistique→Modules linguistiques disponibles : Décoché toutes les options, sauf "Vérificateur de grammaire distant Language Tool" qui est coché.
2) Outils→Options→Paramètre linguistique→Serveur Language Tool : Activer Language Tool est coché. J'ai renseigné URL de base par https://api.languagetool.org/v2, tous les autres champs sont à blanc.
Et cela ne fonctionne pas.
À noter que sous Firefox et Thunderbird, LT fonctionne sans problème.
Alors, si quelqu'un a une suggestion, je suis preneur, merci d'avance.
... Certains fichiers système de Windows ne peuvent pas être déplacés. ...
Si je comprends bien, la notion de couches de logiciels n'a pas encore atteint les développeurs de Microsoft. À un point tel, qu'une notion logique, celle de fichier, est dépendante d'une adresse disque.
C'est un peu une consolation de voir que je ne suis pas le seul.
Entretemps, j'ai installé à nouveau la 15.5 dut PR1, mais cette fois non pas simplement en demandant de formater les partitions, mais en les supprimant, puis les récréant avant de les formater.
J'ai aussi repris totalement la liste des logiciels à installer. Pour finir, j'ai eu une installation fonctionnelle, avec la résolution correcte. Mais, un gros mais, LibreOffice prend plus d'une minute pour se charger, ce qui rend, pour mon utilisation, l'installation inutilisable.
Alors, j'ai réinstallé la release 15.4.
C'est parce que j'avais un peu de temps disponible que j'ai décidé d'installer la 15.5, mais maintenant elle va attendre quelque temps.
@sobkowiak : les drivers sont installés. @chalu : pas de problème de connexion, voir ci-après.
Le mystère s'épaissit !
Pour en avoir le cœur net, j'ai installé la release 15.4 sur PR1. Résultat des courses : l'installation est parfaitement opérationnelle avec la résolution 1920x1080 !
À noter que j'ai fait une erreur dans mon premier post, j'utilise une résolution de 1920x1080 et non pas 1280x1024.
J'ai une carte graphique basique (je ne suis pas gamer), une asus.
Mais je ne pense pas que le problème vient de la carte graphique. La seule chose qui change entre l'installation sur TEST qui fonctionne et celle sur PR1 qui fonctionne, mais est pratiquement inutilisable à cause de la résolution, ce sont les SSD du système d'exploitation, mais il s'agit de SSD identiques.
À noter que la release 15.4 sur PR1 fonctionnait parfaitement avant, avec la résolution 1920x1080.
YAST → chargeur d'amorçage → paramètre du système, console graphique est coché, sous Résolution de console, j'ai remplacé Auto-détecter par GRUB2 par 1920x1080, aucune amélioration après un reboot.
Bref, c'est pour moi un mystère totalement incompréhensible.
Tout d'abord, je présente brièvement mon matériel :
Mon PC possède deux SSD :
1) Taille de 1 To, il contient mes données personnelles, entre autres /home (7 partitions au total). Il est fixe, sur bus SATA.
2) Taille de 240 Go, contient uniquement le système d'exploitation SE), en 3 partitions : a) /dev/sda1 monté sur /boot/efi, taille 1 Go b) /dev/sda2 SWAP de 32 Go c) /dev/sda3 monté sur /, taille 192,57 Go. Ce SSD est monté dans un rack amovible. En fait, j'ai 3 SSD de ce type que j'appelle PR1, PR2 et TEST. Ils sont les trois de même marque et même taille. PR1 me sert pour la production des mois impairs, PR2 pour les mois paires (cette alternance me procure un backup du SE). J'utilise TEST, pour tous les tests qui peuvent mettre en péril la fonctionnalité du SE, une nouvelle installation par exemple, je la teste sur TEST et si tous fonctionne je la bascule sur PR1 et PR2.
Pour finir de planter le décor, j'ai un moniteur de marque Benq qui offre un choix de résolution allant jusqu'à 1280x1024, résolution que j'utilise.
Je ne fais jamais de mise à jour lors d'une nouvelle version, je fais toujours une installation complète.
Passons au PROBLÈME maintenant : J'ai installé la 15.5 sur TEST, tout se passe sans aucun problème, je précise que j'utilise KDE, l'installation est terminée en de 2 heures et demie, c'est le choix des logiciels qui est le plus long. Choix que je mémorise dans le fichier user-packages.xml, pour pratiquement automatiser les installations suivantes.
Comme tout roule, je passe à l'installation sur PR1, là aussi, pas de problème au départ, mais au premier reboot, l'affichage bascule en résolution 1024x768 (cela ne me rajeunit pas) et impossible de la changer, YAST n'offre pas cette possibilité et KDE non plus. Je précise que j'ai fait 3 installations successives sur PR1 avec toujours le même résultat. Et ce sont exactement les mêmes packages qui sont installés, par importation de user-packages.xml.
Alors, j'en suis là, TEST contient une 15.5 opérationnelle, PR1 contient une 15.5 qui fonctionne, mais inutilisable à cause de la résolution et PR2 est toujours sous 15.4 (je ne veux évidemment ne pas y toucher).
J'espère ne pas avoir été trop confus, et, surtout, j'espère que quelqu'un pourra m'apporter une solution ou une piste menant à une solution.
Aucun problème pour passer de DD sur SSD, je l'ai fait pour trois PC au passage, j'ai profité pour augmenter la RAM au maximum possible. SSD+RAM, cela leur a donné une nouvelle jeunesse.
Bien sûr, il faut réinstaller à partir de rien.
Pense à sauvegarder tes données personnelles. Je sais, cela peu paraître con de le dire, mais j'ai failli perdre plus de 10 ans de photos en oubliant de les sauvegarder.
Pour moi également, le PDP-8 c'était avec une console (le célèbre Teletype ASR 33) munie d'un lecteur-perforateur de ruban. Imagine le cirque pour insérer une instruction dans un programme ... Pour supprimer, plus facile, il suffisait de repérer l'instruction et de perforer, pour chaque caractère de l'instruction, les 7 trous du ruban, 7 trous perforés correspondait à nul pour le lecteur. Cela avait au moins un avantage, on écrivait le programme sur papier et on en suivait le cheminement manuellement avec beaucoup d'attention avant de le perforer. En général, il ne restait que peu de bug, 2-3, liquidés en autant de passage de test. Il est vrai que les programmes étaient plus petits.
J'ai visionné le film dont tu donnes la référence, toute une époque ! À cette période, on gagnait très très largement sa vie, tout en faisant un travail passionnant. Je me souviens qu'à la fin de mes études alors que je me dirigeais vers ce que l'on allait bientôt appeler informatique, mes copains me disaient : "tu es en train de t'engager dans une voie sans issue, dans 10 ans les ordinateurs se programmeront eux-mêmes*, et dans quelques années tu seras complètement dépassé comme ingénieur". Les mêmes faisaient grise mine quelques années plus tard, lorsque, lors de nos réunions d'alumni, nous évoquions nos revenus respectifs.
... je suis né en ... 1965, ça aide à relativiser ;-)
En 1965, je me battais, en assembler, contre l'un des premiers PDP-8 (Digital Equipment racheté par Compaq -> HP).
C'était dans le cadre de mon mémoire de fin d'étude. Le PDP-8 devait contrôler la fermeture la plus rapide possible d'une conduite forcée de centrale hydroélectrique tout en évitant une surpression brutale dans la conduite (coup de bélier) pouvant la faire exploser. Nous travaillions à deux, mon condisciple, faisant son mémoire en ingénierie mécanique, s'occupait de la partie physique de la vanne, et j'étais responsable de l'asservissement. Au départ, j'avais trois solutions. La première, c'était de concevoir une électronique spécifique pour l'application, solution que j'ai rapidement abandonnée. Il restait alors soit le calculateur analogique, soit l'ordinateur numérique. Je pense que les calculateurs analogiques n'existent plus, peut-être dans des cas particuliers. Mais ils offraient, à l'époque, une grande facilité pour résoudre des équations intégrodifférentielles en temps réel. Mais, à mes yeux de l’époque (et maintenant aussi) ils représentaient le passé. L'ordinateur numérique en revanche me paraissait l'avenir, c'est donc vers lui que je me suis tourné. Ce fut complexe, par exemple, il n'existait pratiquement rien pour les équations intégrodifférentielles ayant un temps de réponse satisfaisant, j'ai dû développer des méthodes numériques (basées sur Runge-Kutta) originales. De même, il a fallut développer des interfaces capteurs->ordinateur et ordinateur->moteurs, les ports analogiques standards n'existaient pas à l'époque. Complexe, mais passionnant, ce fut une période d'intense travail mais aussi de profonde satisfaction. Et cela m'a mis le pied à l'étrier, j'ai fait des choses aussi différentes que le dispatching d'un ensemble de réseaux électriques, le contrôle du givre en avionique, l'automatisation d'une cimenterie, d'une brasserie, micro-onde en logique floue, etc, etc. Et j'ai ensuite partagé mon expérience avec de futurs ingénieurs.
Je ne suis pas vraiment un nouveau, mais plutôt un ancien, un très ancien, inscrit pratiquement dès le début d'Alionet, avec le pseudo abgech.
Puis, il y a un ou deux ans, impossible de me connecter, j'avais toujours la réponse "banni de ce forum ..." (ou quelque chose d'approchant). Impossible de comprendre pourquoi, je ne pense pas avoir eu un comportement irresponsable, ce n'est pas à mon âge (bientôt 81 ans) que je vais me mettre à insulter les gens ... J'ai supprimé tous les cookies, l'entrée dans mon dictionnaire des mots de passe, etc, changer de lieu de connexion, etc. Toujours la même réponse. Même le simple fait d'aller sur le site Alionet, sans tenter de me connecter et j'obtenais ce message.
Jusqu'à il y a quelques jours, toujours sans que je sache pourquoi, l'accès à Alionet s'est libéré, alors, je m'inscris avec un nouveau pseudo.
Brève présentation. j'ai écrit mes premiers programme en 1963, en Fortran, lors de mes études d'ingénieur en génie électrique. Mon mémoire de fin d'étude, en 1965, portait sur le contrôle des vannes de fermeture d'une centrale électrique par un ordinateur. J'ai rapidement trouvé du travail pour développer des logiciels dans le domaine que l'on appelait à l'époque "informatique industrielle", maintenant on dirait plutôt "robotique", "logiciel embarqué" ou "IA". Je suis donc un vétéran de la chose. J'ai passé une moitié de ma carrière dans l'industrie et l'autre moitié à enseigner le logiciel embarqué dans une école d'ingénieur. C'est comme responsable d'un labo de cette école, que j'ai, en 1993, commandé une des premières distribution Linux la Slackware (elle avait le mérite d'être gratuite ce qui épargnait le budget du labo) en remplacement d'un Unix payant. Depuis, je suis resté fidèle à Linux.
Je suis, bien évidemment retraité, mais retraité actif. Actuellement, je suis en train d'apprendre Rust, cela ne fera qu'un langage de plus à mon actif (Fortran, une bonne dizaine d'assembler, Algol, C, Pascal, Modula, PL1, Ada, Lisp, ...), ce qui démontre que ce qui est important, ce n'est pas de connaître tel ou tel langage, mais de savoir programmer.
Je suis content de pouvoir à nouveau participer aux discussions sur Alionet.
tout fonctionne.
Introduire assiettes et couverts c'est quand même moins astreignant.